~ never trust a duck.

~ olivia winston ~

22 ANS ~ ETUDIANTE EN PHOTOGRAPHIE ~ CELIBATAIRE ~ UNHABITANTS
FROM MANDEVILLE ~ 31.07.1991 ~ FRANCAISES/AMERICAINES

- BY THEPLUSHBEAR @TUMBLR -

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Young hearts, out our minds

► Quelle est votre saison préférée ?

Il est difficile de choisir, la composition classique des quatre saisons de Vivaldi aurait de quoi répondre le plus simplement du monde à cette quetion. Pour autant, puisqu'il fait être relativement précis alors la blondinette vous répondrez la saison du printemps. C'est la période du renouveau, de l'éclosion des premiers boutons de fleurs avec un temps à la fois varié et agréable. Une période de l'année où tout semble renaitre de ces cendres. Cette période lui rapelle également de très bons souvenirs qu'elle espère ne jamais oublier ou bien mettre de coté.

► Si vous deviez visitez un seul pays de toute votre vie, se serait lequel ?

Lorsqu'on lui pose ce genre de question, Olivia à tendance à se voir de nouveau devant son globe terrestre et à choisir au hasard un pays. Cela l'a toujours fait rire étant gamine et en y repensant aujourd'hui le rire est toujours au rendez vous. Si elle devait choisir alors elle porterait son choix sur la France. Terre des grades coutumes et des grandes oeuvres sans oublier ses monuments et ses paysages magnifiques. Elle en tient d'ailleurs de très bons souvenirs grace à ses clichés, et serait prête à y vivre si jamais elle parvient à ses objectifs personnels.

► Nous sommes tous différent, dîtes nous l'animal qui vous ressemble le plus ?

La liberté de tous n'est pas forcément celle des autres. Il y a un bon nombre d'animaux qui representerait bien à la fois le caractère et la complexité qu'est la jeune femme. Cependant c'est surtout envers un animal totem des anciennes légendes américaines que la dernière des Winston ressemble à savoir le chat. A la fois farouchement intrépide, sociable et indépendante à la fois, Olivia s'est parfaitement s'adapter à une situation. Tout comme le felin qui à plusieurs vies, Olivia à plusieurs facettes.

► Il y a certainement une chose dont vous ne pouvez pas vous passer ?

De nos jours, les jeunes sont incapables de se séparer de leurs téléphones portables, de leurs ordinateurs portable ou encore de la télévision. Loin de tout cela, Olivia fait encore bande à part par rapport aux autres, car la seule chose qu'elle n'oublie jamais - et ce peu importe - son emplois du temps et la situation c'est son appareil photo. C'est comme le prolongement de sa main, sa seconde nature.

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Wild childs, lookin' good

(+) Olivia est l'unique fille au milieu d'une fratrie de deux frères que tout oppose dans un sens comme dans le mauvais. Particulièrement proche de son demi frère Briscoe, c'est dans la présence de ce dernier qu'elle ressent le lien fraternel de manière plus intense. En compagnie d'Adriel en revanche, la communication est plus complexe, plus palpable. (+) C'est une personne particulièrement altruiste dans l'âme et la manière d'être. Elle pense toujours au bien être de son prochain avant toute chose quitte à se mettre en paranthèse. Très ouverte d'esprit, Olivia part du principe qu'il faut de tout pour faire un monde, et un certain équilibre pour effectuer la balance. (+) Elle joue du piano depuis son plus jeune âge, car selon sa figure maternelle le sport et la musique sont le rythme d'une vie saine et équilibrée. (+) Elle est la fière propriétaire d'un petit chien prénommé Vivaldi. Un véritable paresseux qui ne pense que l'attention sincère et primaire. (+) Son appareil photo est l'objet le plus important à ses yeux, d'ailleurs elle ne sort jamais sans. Elle ne cesse jamais de prendre des clichés car pour elle chaque moment est important à figer. Elle travaille d'ailleurs en tant que photographe assistante dans le petit journal de la ville. (+) Récemment la jeune femme à été victime d'un accident de voiture dont sa meilleure amie se sent responsable. Elle s'en est sortie relativement sans grandes sequelles hormis sa mémoire. (+) Son amnésie lui pèse beaucoup quand bien elle ne le montre nullement. Elle se sent perdu dans un tourbillon qui ne lui ressemble pas le moins du monde.

Spoiler:

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i used to be someone happy
you used to see that i'm friendly

Tu es une simple partie d’un hémisphère, ou est-ce l’hémisphère qui à elle seule une simple partie à lui tout seul ? Le conscient a-t-il lui-même le pouvoir de tout oublier d’une vie passé ? Ou bien décide-t-il lui-même son propre état ? Tes souvenirs te reviendront-ils un jour ? Au travers de la vitre du métro, tu regardes de manière lointaine et évasive le paysage qui défile sous tes yeux, des yeux qui te paraissent quelque peu étranger depuis, pour ne pas dire depuis toujours. La musique de classique de Vivaldi qui joue en fond sonore t’apaise comme un sentiment indolore que tes proches ne te procurent pas totalement quand bien même ils font tout leur possible. Tu ne sais plus réellement qui sont tes alliés, tes ennemis, ceux avec qui tu as pu te lier par le passé, hormis quelques personnes qui font exception à la règle. Tu soupires l’espace d’un instant, toujours les écouteurs sur les oreilles lorsque que tu sens ton cellulaire vibrer au fond de la poche de ta veste en jeans. Le prenant d’un geste rapide, tu restes quelques minutes à toiser d’un regard vide l’écran de ton téléphone. Il s’agissait de l’un de tes frères ainés – Adriel – avec qui tu n’étais pas spécialement proche parait-il, mais égoïste sur le moment tu écourtes l’appel. Tu n’as pas réellement envie de lui parler comme pour meubler la conversation, une conversation qui finira toujours sur la même note de musique celle de la rancune qu’il nourrit envers ton autre frère Briscoe. Les minutes défilent et tu finis par quitter les sous terrains des transports en communs pour te rendre à ton appartement. Les pas sont toujours les mêmes, un rituel coutumier qui depuis ton accident de voiture te rassure. Ta perte de mémoire a occasionné beaucoup de choses, et ton accident en a fragmenté d’autres. Poussant la porte de l’immeuble, tu suis le chemin des escaliers jusqu’au deuxième étage et lors tu insères la clef dans la serrure, une petite boule de poils de deux années te saute dessus pour démontrer sa joie de te voir de retour. Le labrador finit néanmoins par déposer ses pattes sur le rebord de la fenêtre, le regard rivé vers le bas du bâtiment. Déposant tes affaires sur le canapé, tu relèves légèrement les rideaux pour suivre la même direction d’horizon. « Pourquoi tu fixes la fenêtre toi ? ». Lui demandes-tu d’un air interrogateur alors que tu sais très bien qu’il ne peut te répondre. Tu as toujours eu l’impression de pouvoir comprendre l’expression de ses deux petites billes noires. Du coin de l’œil, tu le considères avec amusement avant de retourner dans la cuisine pour commencer à plancher sur projet de vernissage pour ton exposition le mois prochain. Tasse de caféine à la main, ton attention fixée sur l’écran de ton ordinateur portable, tu pianotes rapidement sur le clavier. Captivé par ton activité, ton imagination sur le résultat de tes dernières photos te surprend et tu n’entends pas le moins du monde retentir la voix de Tinsley. Cette dernière agite une main devant tes yeux pour obtenir ton attention. « Ollie ? Tout va bien ? ». Te demande-t-elle quelque peu soucieuse alors que tu secoues la tête en guise d’un accompagnement de réponse. « Oui … oui j’étais en train de travailler sur mon vernissage du mois prochain et j’étais tellement absorbé que je ne t’ai pas entendu rentrer. ». Tu lui souris avec un naturel et une douceur que tu n’expliques pas. Depuis ton accident voilà quelques mois auparavant, la brunette a été ton seul rempart avec ton passé, ta vie d’aujourd’hui sans doute parce que ton destin est lié au sien ? Non, tu as bien du mal à le penser. Tinsley s’est toujours montré attentive et à l’écoute de tes moindres question comme l’aurait fait tes proches. Elle a su te dire le tout de votre histoire, le fondement et les prémices. Elle se penche pour te voler un baiser en souriant tout prenant soin de jeter un coup d’œil à tes derniers clichés. « J’ai une petite préfère pour celle-là. Tu es tellement créative c’est incroyable ! ». Ses mots étaient agréables à entendre. Légers et apaisant. Tu viens chercher sa main afin d’entremêler vos doigts, toujours ce petit sourire discret et altruiste peu visible aux bordures de tes lèvres. « Je vais la mettre dans la série en exposition alors. Cependant pour le reste j’espère que la plupart des intéressés penseront la même chose que toi. ». Tu as toujours beaucoup douté de toi-même, toi qui semble-t-il a toujours placé de l’espoir sans faille chez autrui et ce souvent à ton propre détriment. La brunette fait glisser son menton sur ton épaule, son souffle venant chatouiller la courbe de ton cou. Tu frissonnes. « Ne dis pas … ». Ta compagne n’a guère le temps d’ajouter un mot que la sonnerie de ton téléphone retentit venant briser la quiétude appréciable de la pièce. Tu tends alors le bras pour attraper ton portable et tu décroches. Briscoe. Ton ainé, celui avec lequel tu as toujours été le plus proche, la première personne dont tu t’es souvenu lors de ton réveil à la clinique. Tes yeux croisent ceux de Tinsley qui comprend en silence que la conversation va être délicate. « J’ai besoin de te voir ma grande. ». Son ton protecteur te surprend mais il pique également ta curiosité. « Bien sûr, on peut se voir demain après-midi si tu veux ? ». Tu sens à l’autre bout du fil il émet un temps de réserve avant de poursuivre. « Je passe te prendre après tes cours alors. Et Ollie ? ». « Oui quoi ? ». Enième silence de plus. « Non rien. ». Tu raccroches quelques instants plus tard, une moue intriguée sur le visage. Qu’est-ce qui se passe à la fin ?